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La vérité sur le pépin de pamplemousse

 

Comme on peut le lire dans le livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l'un des nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90, l''huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.

 

L'EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient). Avant de l'utiliser, rappelez-vous qu'il s'utilise toujours dilué et qu'il doit être évité sur les yeux. En usage interne, il est efficace aussi bien en prévention qu'en traitement d'attaque pour toutes les infections, particulièrement :

  • Les infections du système digestif, intoxications alimentaires, diarrhées, maladies parasitaires...
  • Les ulcères de l'estomac et du duodénum (il tue Helicobacter pylori),
  • Le Candida albicans, les candidoses et autres mycoses.
  • Le rhume, les infections de la sphère ORL en général, la grippe, les affections bronchiques...
  • Les infections urinaires et cystites.
  • La fatigue chronique et l'affaiblissement immunitaire.
  • Les allergies (car il est aussi hypoallergène).
  • En usage externe, l'EPP est aussi un recours dans bien des situations :
  • La bouche : aphtes, herpès des lèvres, muguet, gingivite...
  • La peau : acné, dermatites, psoriasis mais aussi petites coupures ou brûlures, piqûre d'insectes, verrues, mycoses...
  • Les cheveux : pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux
  • Les pieds : eczéma des orteils, verrues plantaires, infections à champignons.
  • Les ongles : onychomycose, panaris.
  • Les organes génitaux : vaginite, infections vaginales, parasites...

Pourtant, à l'expérience, il y a de quoi douter

Malgré la réputation justifiéee de l'EPP, il m'est arrivé moi-même, ces dernières années, de douter de ses vertus. Pendant longtemps, j'ai essayé plusieurs marques sur moi-même et sur ma fille et je ne constatais aucun effet. J'ai ainsi tenté de guérir des rhumes, je l'ai essayé pour traiter un petit champignon entre les orteils. Mais rien... Peut-être cela vous est-il arrivé aussi ! Un jour pourtant, j'ai trouvé un produit qui semblait fonctionner. J'en ai appliqué sur une piqure d'araignée qui s'infectait? Et là, ça m'a d'abord chatouillé fort puis tout a disparu.

Alors j'ai compris qu'il y avait différentes qualités d'EPP et je me suis posé la question : à quoi peut-on reconnaître un bon EPP ? Après enquête mon choix s'est porté sur un produit précis (voir ci-dessous dans les commentaires) mais je vous conseille de faire votre propre enquête en lisant les étiquettes avec un oeil averti, grâce à ces conseils.

 

EPP : On n'y comprend plus rien sur les étiquettes

Pas facile de s'y retrouver. Les dosages, comme les prix, varient du simple au triple et les qualités s'avèrent très inégales, certains produits étant même totalement inefficaces ou bien dangereux. Sur les étiquettes, on lit parfois « enrichi en bioflavonoïdes » ou « en vitamine C ». Ou encore « à base de pépins et d'écorces » ou « de pépins et de pulpe »... Quant à la fabrication, le plus souvent non divulguée, elle reste mystérieuse et l'on trouve même de l'EPP sous forme de comprimés ou à usage cosmétique.

 

De nombreuses fraudes signalées

À plusieurs reprises, dans les années 2000, des scientifiques, allemands, suisses et japonais, ont prouvé que certains EPP n'étaient pas si naturels que ça (1) : dans plusieurs d'entre eux a été détecté la présence en quantité non négligeable d'antibiotiques et de conservateurs industriels comme du chlorure de benzéthonium (un ammonium quaternaire toxique), du chlorure de benzalkonium (idem), du triclosan (un composé organochloré) et du methyl paraben.

En Suisse, suite à une étude des laboratoires cantonaux de Bâle mettant en évidence la présence de hautes concentrations de chlorure de benzéthonium dans des EPP (7 produits sur les 9 étudiés étaient contaminés !), plusieurs marques ont même été retirées du marché au début des années 2000. Avec du chlorure de benzéthonium, vous pouvez remplacer n'importe quel EPP par de la Vache qui Rit ou de la confiture de groseille : le résultat sera aussi époustouflant !

 

Des études rassurantes... enfin !

Les troublantes constatations d'une partie du monde scientifique ont forcément nourri une trépidante controverse, toujours en cours ; autour de l'ammonium quaternaire (3). Mais il faut savoir que l'EPP n'a pas que des détracteurs chez les chercheurs : de très sérieuses études ont récemment confirmé les premiers travaux menés dans les années 90 (notamment à l'Institut Pasteur) sur les propriétés bactéricides du pépin de pamplemousse (4).

L'étude citée plus haut a ainsi confirmé que l'action de l'EPP s'étend à environ 800 souches de bactéries et virus, une centaine de souches de champignons, ainsi qu'à un très grand nombre de parasites unicellulaires. L'extrait de pépin agit en désorganisant la membrane cytoplasmique et mitochondriale des micro-organismes. Avantage imparable par rapport aux antibiotiques chimiques : l'EPP inhibe les bactéries nocives au niveau intestinal mais ne touche pas les indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. Globalement, l'ensemble de la flore s'en trouve améliorée.

 

Intéressons-nous au procédé de fabrication industriel standard

L'EPP est normalement produit à partir des pépins du Citrus paradisi, autrement dit le gros pamplemousse originel encore appelé « pomélo ». Certains fabricants utilisent toutefois Citrus grandis, plus petit et plus courant chez nous ou Citrus maxima. Le plus souvent, on vous propose un extrait hydro-glycériné ou hydro-alcoolique sur la base d'une extraction à sec.

Grosso modo : les pépins sont séchés et réduits en poudre. Cette poudre est ensuite dissoute dans de l'eau pure et distillée (pour éliminer les fibres et la pectine). Une autre opération de séchage permet d'obtenir une poudre concentrée. Ce concentré est mélangé à un solvant (glycérine ou alcool) et à de l'eau puis chauffé sous haute pression. Puis il est refroidi, filtré et traité aux U.V.

Américains ou Chinois fournissent les marchands Mais dans les faits, on ne sait pas comment est précisément fabriqué l'EPP. Car la réalité, c'est que si l'on trouve une myriade de marchands français, il existe très peu de vrais fabricants dans l'Hexagone : la matière première est le plus souvent importée sous forme liquide. D'où vient-elle ?

Les principaux fabricants sont américains, chinois et, dans le meilleur des cas (je veux dire le plus traçable), allemands. Difficile de vérifier la qualité de l'extrait originel dans ces conditions, facile de tomber sur un extrait fabriqué à partir de n'importe quel pamplemousse... Et ça, les marchands d'EPP concernés se gardent bien de nous le dire. En plus, l'EPP est maintenant au centre d'une nouvelle bataille commerciale où tous les coups sont permis. Voilà décidément une histoire à rebondissement?

 

La guerre des flavonoïdes

Même si certains fabricants font valoir des procédés d'extraction plus sophistiqués (extraction à froid, sous vide, par pression, dépression, percolation, hyperfréquence et tutti quanti), le principe de fabrication est le même partout ou presque. C'est ainsi que la norme est d'utiliser 20% en moyenne d'extrait de pépins de pamplemousse pur (pour obtenir un produit suffisamment liquide), ce qui donne au final un EPP qui titre à 400 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml de produit. Comment expliquer alors que l'on trouve des EPP à 800, 1 000 ou 1 200 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml ?

 

Les petits calculs des marchands d'EPP

Tout dépend en fait de la méthode de mesure utilisée. Il existe en effet deux techniques d'analyse quantitative des molécules :

- la chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP ou HPLC en anglais), la plus précise.

- le test U.V. (l'absorption U.V. visible). Or le même extrait donnera pas exemple un résultat de 100 mg en HPLC et de 300 mg par la méthode U.V., soit 3 fois plus. Si l'on vous annonce 1 200 mg, c'est que l'on a utilisé la méthode d'analyse U.V., 3 fois plus avantageuse dans la mesure où elle quantifie tous les composants de l'extrait et pas seulement les bioflavonoïdes.

Ainsi, un EPP titré à 800 mg selon la méthodologie U.V. contient en réalité moins de 300 mg de bioflavonoïdes. A moins que l'on ait rajouté artificiellement des flavonoïdes (d'où viennent-ils ?) dans le produit, ou l'écorce ou le péricarpe (l'enveloppe superficielle du fruit), ce qui se pratique aussi allègrement.

Autant vous le dire tout de suite : cette astuce commerciale, comme celle qui consiste à rajouter de la vitamine C naturelle ou de synthèse, ne présente aucun intérêt, l'extrait de pépin se suffisant pour ce qui nous intéresse : son action antibiotique. Et cette action dépend des bioflavonoïdes, des composés phénoliques qui sont de puissants antioxydants et qui constituent aussi les défenses immunitaires des plantes contre les parasites, les bactéries, la lumière, etc.

Quant au péricarpe, rien n'indique qu'il ait un effet antibactérien mais pour des raisons qui m'échappent, on m'explique qu'il permet d'obtenir plus facilement la mention bio...

 

Faut-il préférer l'EPP bio ?

Faut-il privilégier un EPP bio ? Pas forcément. Bien sûr, on évitera ainsi les extraits produits à partir de pamplemousses à jus de culture intensive, et par conséquent les traces d'intrants. Mais l'on en paiera le prix, pour une différence qui, en l'espèce, n'est pas déterminante. Pour le geste, on privilégiera tout de même l'achat de pépin de pamplemousse dans les boutiques bio.

Car la meilleure filière qui soit, reste celle du pamplemousse originel, sauvage, à savoir le Citrus paradisi provenant d'Asie. Ce sont les gros pépins de ce pamplemousse qui ont été étudiés. Et sauf exceptions, ce pamplemousse sauvage peut difficilement accéder à un label.

 

Alors comment choisir sans se tromper ?

Avant de sortir votre porte-monnaie, avant de craquer sur un prix alléchant, vérifiez autant que possible les points suivants :

  • Assurez-vous qu'il s'agit bien de pépins de Citrus paradisi.
  • Privilégiez les extraits ou macérats obtenus sans solvant chimique, sans alcool et de préférence avec de la glycérine végétale, sans pulpe ou péricarpe, sans ajout de bioflavonoïdes ou de vitamine C.
  • Choisissez de préférence la forme liquide, a priori plus pure et plus efficace que les comprimés.
  • Vérifiez qu'il n'y ait aucun additif autre qu'un conservateur inoffensif et surtout pas, évidemment, de chlorure de benzéthonium.
  • Méfiez-vous surtout des importations bon marché, souvent identifiables à leur contenance bizarre (30 ml par exemple) ou à leur goût très amer (l'EPP ne doit être que très légèrement amer voire pas du tout) ou bien des marchands Internet implantés à l'étranger.

Comme vous pouvez le voir, il y a beaucoup d'usurpateurs et beaucoup de produits sans grande efficacité.

 

Enfin des formules fiables !

A force de chercher la meilleure formule possible, j'ai fini par en trouver une - ce qui n'exclut pas, bien entendu, qu'il y en ait d'autres : il s'agit de l'extrait de pépins de pamplemousse du laboratoire Dioter, un complément alimentaire naturel issu de la variété pomelo.

Acheter cet extrait de pépins de pamplemousse

 

Elle répond, bien sûr, aux critères énoncés ci-dessus mais en plus, elle est issue d'une fabrication française, assez rare, basée sur une macération et non sur une poudre de pépins.

Si vous cherchez un produit sans vitamine B9 (le produit Dioter en contient), je vous conseille l'extrait de pépins de pamplemousse du Laboratoire La Royale, là aussi de haute qualité. C'est un laboratoire qui a toute ma confiance (donnez mon nom à la prise de commande).

 

Passez un hiver tranquille !

N'hésitez pas à préférer la qualité au prix et à faire une bonne cure préventive d'EPP. L'authentique EPP a fait ses preuves et il est dépourvu de toute toxicité, même en cas de dépassement des doses conseillées. C'est en particulier un excellent préventif des maux hivernaux et sa seule contre-indication sérieuse s'adresse aux rares personnes allergiques aux agrumes.

 

Pendant combien de temps ?

Le pépin de pamplemousse, comme les antibiotiques est rapidement identifié par les agents pathogènes et, comme pour les antibiotiques synthétiques, ces derniers s'y adaptent. Je vous conseille donc de ne pas le prendre sur une durée trop importante et dans tous les cas, pas en continu.

 

Pour des conseils sur votre immunité, n'hésitez pas à directement me contacter :

contact@choisir-naturo.fr

 

Attention, si vous laissez un commentaire ci-dessous, j'y répondrai mais vous devrez retourner sur le site pour voir ma réponse, vous ne la recevrez pas par mail 😊

 

 

Sources :

(1) Identification of Benzethonium Chloride in Commercial Grapefruit Seed  Extracts ? Takeoka et al. J. Agric. Food Chem. 2001, 49, 3316-3320. Cosmetics and grapefruit seed extracts / quaternary ammonium compounds - 2004 - Kant. Laboratorium BS.

(2) Aspects of the antimicrobial efficacy of grapefruit seed extract and its relation to preservative substances contained.- von Woedtke et al. Pharmazie. 1999 Jun ; 54(6):452-6.

(3) Selon quelques sources scientifiques, les polyphénols du pépin de pamplemousse seraient convertis durant l'opération d'extraction (par une réaction chimique spontanée) en un ammonium quaternaire, l'hydroxybenzene diphenol (du triclosan en fait). La présence de ce composé en petite quantité dans le produit final serait donc plus ou moins naturelle (le procédé d'extraction étant, on l'a vu, souvent industriel) et expliquerait l'action antibactérienne de l'EPP. Mais en l'état de la recherche, ce n'est encore qu'une hypothèse parmi d'autres, hypothèse évidemment mise en avant par les gros industriels américains ou chinois (certains parlant même de présence naturelle de chlorure de benzéthonium !) mais qui est loin de faire l'unanimité.

4) Antimicrobial activity of grapefruit seed and pulp ethanolic extract - Cventniz et Vladimir-Knezevic. Acta Pharm. 54 (2004) 243?250. The effectiveness of processed grapefruit-seed extract as an antibacterial agent: II. Mechanism of action and in vitro toxicity. - Heggers JP et al. J Altern Complement Med. 2002 Jun; 8(3):333-40.

 

Source de l'article

 

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Commentaires: 10
  • #1

    Sarah (samedi, 14 mars 2020 08:19)

    Bonjour,

    Merci pour toutes ces infos ! Je pense qu'un autre EPP pourrait être ajouté à la liste, en tout cas je ne l'ai pas testé mais la traçabilité semble transparente et le produit de bonne qualité, il s'agit de QuantaEPP de Phytoquant. Je ne sais pas si vous connaissiez déjà ?

    Cordialement, Sarah

  • #2

    Anne-Lise, naturopathe et coach en nutrition (dimanche, 15 mars 2020 09:14)

    Bonjour Sarah,
    merci pour votre commentaire.
    Je connais les laboratoires Phytoquant en effet, ils me semblent de qualité. Mais je ne connais pas spécifiquement ce produit donc vous comprendrez que je ne peux me prononcer sans avoir eu de retours.
    Bonne continuation à vous, bon courage pour cette période compliquée.
    Anne-Lise

  • #3

    Elodie (samedi, 28 mars 2020 18:37)

    Bonjour et merci pour votre article,
    L'extrait de pépin de pamplemousse m'aide à passer l'hiver depuis des années (moi qui suis plutôt fragile coté ORL). Et il m'a toujours été difficile de choisir. Quand j'ai commencé à en prendre, j'ai fait des erreurs de choix.
    Petite question: Que pensez vous de celui de la marque Orfito (vendu sur onatéra).
    Ils annoncent 1200mg de bioflavonoïdes et précise que la méthode est la HPLC (Chromatographie Liquide Haute Pression), ils poursuivent en expliquant qu'il y a 70 % d'Extrait Glycériné de Pépin de Pamplemousse (versus une moyenne de 20 % sur le marché).
    Qu'en pensez vous?
    Merci d'avance pour votre réponse et bon courage à vous pour cette période.
    Cordialement,
    Elodie.

  • #4

    Anne-Lise, naturopathe et coach en nutrition (dimanche, 29 mars 2020 13:58)

    Bonjour Elodie,
    Merci pour votre message.
    Concernant la marque que vous citez, je ne la connaissais pas (il en existe tellement !). Cela me semble correct, je mettrais simplement deux bémols :
    - cette marque ne produit que pour Onatéra, c'est donc un genre de "marque distributeur"
    - l'article ci-dessus attire l'attention sur les produits qui affichent un dosage très élevé (ce qui est le cas pour ce produit, à 1200 mg de bioflavonoïdes). Est-ce bien nécessaire ?
    Voilà, j'espère vous avoir un peu aidée ...
    Bon courage à vous également, prenez soin de vous.
    Bien cordialement, Anne-Lise

  • #5

    Elodie (dimanche, 29 mars 2020 17:41)

    Je vous remercie pour votre réponse.
    En fait, je prends cette marque depuis un an environ et elle est plus efficace que celle que je prenais avant (qui comportait des failles: ajout de vitamine, etc). Je suis assez contente de celle ci pour le moment (car elle me stoppe des maux de gorges, et débuts de maladie assez rapidement), mais je reste toujours à la recherche du meilleur rapport qualité prix du marché dans mes choix.
    Aujourd'hui, j'hésite à changer pour acheter la marque que vous conseillez, car j'ai vu plusieurs articles la recommander. Mais comme le tarif est un peu plus élevé, le nombre de bioflavonoïdes inferieur (en sachant que ce n'est pas le procédé par UV qui a été utilisé pour celle d'Orfito), je me posais la question sur celle qui aurait le plus d'efficacité et le meilleur rapport qualité prix.
    Donc, selon vous pas besoin de plus de 400mg. Elle serait aussi efficace malgré la concentration de 20% au lieu de 70%?
    Heureusement que nous avons ce genre de produit pour nous protéger. Avant, j'allais souvent chez le généraliste. Mais depuis que je me soigne avec certains produits naturels, je ne le vois presque plus et je guérie plus vite qu'avant. Je soigne même mes chats (Abcès, coryza, etc) avec des résultats époustouflants.

  • #6

    Anne-Lise, naturopathe et coach en nutrition (dimanche, 29 mars 2020 21:07)

    Bonsoir Elodie,
    Honnêtement, si le produit que vous prenez actuellement vous convient bien, je ne peux que vous conseiller de le poursuivre, dans la mesure où il semble avoir une bonne qualité.
    Et bien sûr, je partage entièrement votre avis concernant les méthodes naturelles pour se soigner et rester en forme. Cela ne convient évidemment pas à toutes les pathologies, mais tant que c'est possible, il ne faut pas se gêner.

  • #7

    Julie (mercredi, 11 novembre 2020 08:57)

    Bonjour
    L’ajout de vitamine B9 c’est pas un problème dans la composition du produit DIOTER? Car on ne sait pas si cette B9 est naturelle ou synthétique.
    Merci beaucoup
    Julie

  • #8

    Bayon de Noyer (jeudi, 11 février 2021 22:04)

    Bonsoir,
    J'ai bien lu votre article car je chercher un EPP de qualité mais je n'ai pas trouvé de référence. Que conseillez vous d'acheter svp ?
    Merci d'avance pour vos conseils.
    Sakya

  • #9

    Anne-Lise, naturopathe et nutritionniste (vendredi, 12 février 2021 08:05)

    Bonjour Sakya,
    Je vous conseille de vous procurer le produit suivant :
    https://www.la-royale.com/eshop/products/pepins-pamplemousse/detail/HPM
    Prenez 1 gélule 3x/j avec un verre d'eau, de préférence au début des repas et en-dehors de toute autre prise alimentaire.
    Vous pouvez commander directement en ligne, il vous faudra donner mon code thérapeute (71185) à un moment donné.
    Bonne journée et prenez soin de vous !
    Anne-Lise

  • #10

    Prudence (dimanche, 28 mars 2021 09:14)

    Merci pour cet article où je découvre encore de petites choses utiles quant aux epp.

    On n'en sait jamais trop�
    ☀️�